Modes de chasse

Randal Gossip vous emmènera sur le domaine public fluvial et maritime (canards et limicoles), chez de nombreux fermiers où il a négocié un accès exclusif (palombes, faisans, bécassines, lapins et canards), dans les forêts domaniales de montagne où il a loué à l’Etat des droits de chasse qui lui sont donc réservés (bécasses, palombes, lapins, faisans sauvages).

En fonction de vos goûts et de la météo Randal vous proposera chaque jour de prospecter, sous sa conduite, tel ou tel territoire et assurera le transport sur place.

Important : il s‘agit d‘une activité annexe pour Randal. Il reçoit donc moins d’une dizaine de groupes par an pour la chasse d’hiver. Ses territoires subissent une faible pression cynégétique.

Passées du matin et du soir pour les canards. Devant soi ou en mini battues selon le groupe avec l’aide des labradors et des springers pour tous les gibiers. La quête des bécassines, dans les marais et les prairies inondées est plutôt éprouvante physiquement, les bains de pieds assez fréquents au début pour les non-initiés et le tir pas toujours évident. Quant aux bécasses, lapins et faisans sauvages de moyenne montagne, il faudra de bonnes jambes pour aller les chercher. En bref... c’est du sport !

On pourra se reposer au poste pour tirer les pigeons ramiers, tout au long de la saison ; mais ce mode de chasse se pratique surtout en juillet et août lorsqu’une véritable " marée bleue " s’abat sur les champs cultivés. Face à ce fléau les agriculteurs n’ont guère de recours. Les divers systèmes d’effarouchement sont quasi inefficaces et peu de chasseurs locaux s’intéressent à ce gibier. C’est pourquoi la porte est grande ouverte aux chasseurs étrangers. Cette chasse là est très différente des précédentes, elle s’apparente plus à du ball-trap par le nombre des munitions grillées. Mais personne ne vous empêchera de réserver sportivement vos cartouches aux oiseaux les plus difficiles à tirer.

PS : à  noter que depuis quelques années Randal privilégie la chasse de la bécasse et du pigeon ramier. Au cours d'un séjour il n'y aura donc en général qu'une journée  (ou deux 1/2 journées) consacrées au gibier d'eau.